Les universités danoises rejettent certains chercheurs étrangers par crainte d’espionnage
Les universités du Danemark rejettent des chercheurs étrangers dans un climat d’inquiétude lié à l’espionnage
Les établissements d’enseignement supérieur danois prennent des décisions restrictives vis-à-vis des candidatures de chercheurs étrangers. Cette situation concerne principalement les individus originaires de pays perçus comme des menaces potentielles, avec des conséquences déjà visibles à l’Université d’Aarhus.
Raisons du rejet des candidatures
Les universités danoises, en particulier celle d’Aarhus, ont refusé de nombreuses candidatures provenant de chercheurs originaires de Russie, d’Iran et de Chine, citant des craintes d’espionnage comme motif principal. En 2025, 24 candidatures ont été rejetées par l’Université d’Aarhus seule.
Contexte géopolitique
Cette politique de rejet s’inscrit dans un contexte géopolitique tendu, où les préoccupations concernant la sécurité nationale prennent une place prépondérante. Le Danemark, en tant que membre de l’OTAN, est particulièrement vigilant vis-à-vis des activités d’espionnage potentielles en provenance de ces pays.
Implications pour la recherche académique
Le choix de restreindre l’accès à des chercheurs issus de ces nations peut engendrer des répercussions sur la diversité et l’innovation au sein des établissements danois. La collaboration internationale est souvent cruciale pour la recherche avancée.
Réactions et discussions
Les décisions des universités danois suscitent des débats sur la balance entre sécurité et ouverture académique. Certains craignent qu’une telle approche ne limite les opportunités au sein des institutions.
« Les préoccupations d’espionnage nécessitent une attention particulière dans le cadre de la recherche universitaire. » [Source officielle]
Date de publication : 2025-07-17 13:00:00
Auteur : Cédric Balcon-Hermand – Consulter sa biographie, ses projets et son travail. Cet article a été vérifié, recoupé, reformulé et enrichi selon la ligne éditoriale Artia13, sans reprise d’éléments protégés.
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