Prévu pour contourner la censure, le protocole IPFS est désormais considéré comme une arme de piratage
Car c’est bien moins l’outil que son détournement qui pose problème. Dans son rapport, la Commission cite explicitement des bibliothèques pirates comme Library Genesis (LibGen), Z-Library ou Anna’s Archive, qui utilisent les gateways publics d’IPFS pour héberger et diffuser des ouvrages et documents protégés. À titre d’information, ces passerelles permettent d’accéder aux contenus IPFS via un simple navigateur, sans installer de client, ce qui facilite leur diffusion à grande échelle.
Auteur :
Aller à la source